Le PIlatus et les prises d’air

Pilatus Porter PC-6, PC-7 MkII, PC-9 M, PC-12 NG et PC-21. Ce contrat couvre des générateurs-démarreurs pour le démarrage de moteurs et la génération de puissance électrique, ainsi que des unités de commande de générateur pour le contrôle, la protection et la détection d’anomalies de fonctionnement. Il concerne également des prises d’air, qui permettent l’injection d’air extérieur pour le refroidissement, et des systèmes de pose/dépose rapide qui améliorent la facilité et la rapidité de pose et/ou dépose de générateurs-démarreurs sur la boîte de vitesses du moteur. En plus de fournir ces produits, Labinal Power Systems offre un support en service et une assistance après-vente pendant toute la durée de vie de ces aéronefs. « Nous sommes ravis d’avoir conclu cet accord à long terme avec Pilatus Aircraft Ltd. Ce contrat pose les bases d’une longue et fructueuse collaboration », déclare Alain Berger, Directeur Commercial, Marketing et Services de Labinal Power Systems.

En 2002, une coopération avec la China Aviation Industry Corporation II (AVIC II) a permis la création de la Harbin Embraer Aicraft Industry Co. Ltd. (HEAI), permettant la construction et la vente d’avions Embraer ERJ-145 (L’avion de transport régional Embraer ERJ 145 est un biréacteur de 50 places produit par la société brésilienne Embraer. En 2004 fut créée une association avec l’entreprise de la branche militaire de la Lockheed Martin Corporation (Lockheed Martin Corporation est une société de construction aéronautique créée, en 1995, par la fusion de Lockheed Corporation et de Martin Marietta. ERJ-145 pour la marine et l’aéronautique des États-Unis. Embraer Light Jet) ainsi que le Embraer Phenom 100 (ou Embraer Very Light Jet). En même temps que leurs modèles en taille réelle, leurs noms officiels ont été divulgués lors de la National Business Aviation Association (NBAA) à Orlando en novembre. L’ambition est que dans une période de dix ans le ventes de ce secteur représentent 20% des ventes d’Embraer.

Le Tupolev Tu-144

L’avion est équipé d’une aile en double delta à fort angle de flèche pour une meilleure pénétration dans l’air à vitesse supersonique. Il ne disposait pas de volets ni d’aérofreins. Les gouvernes de profondeur et les ailerons sont confondus en une même commande de vol, des élevons. L’aile delta avait un faible allongement, ce qui créait une faible portance. À l’exception du prototype, les appareils sont équipés de plans canards rétractables, placés à l’arrière du cockpit, sur le haut du fuselage, disposant de volets de courbure. Ces plans, appelés « moustaches », sont utiles au contrôle du tangage à basse vitesse, l’aile delta ne fournissant pas une portance suffisante. L’aile delta étant peu portante à basse vitesse, l’avion devait adopter une position très cabrée, ce qui réduisait considérablement la visibilité à basse vitesse. Pour remédier à ce problème, le Tu-144, tout comme le Concorde, disposait d’un nez basculant. Le Tu-144 dispose d’un train d’atterrissage dit tricycle. En 1962, le F.27 est suivi par l’avion court-courrier à réaction F.28 Fellowship. Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, l’industrie aéronautique britannique compte 35 entreprises de type familial, soit 27 avionneurs et 8 motoristes. En 1959, Hawker Siddeley rachète de Havilland Aircraft et Blackburn Aircraft sous la pression du gouvernement britannique. En 1960, British Aircraft Corporation nait du regroupement de Vickers-Armstrong, English Electric, Hunting Aircraft et Bristol Aeroplane. En 1977, quatre entreprises nationalisées et bénéficiaires sont regroupées : British Aircraft Corporation, Hawker Siddeley Aviation, Hawker Siddeley Dynamics et Scottish Aviation (en). La nouvelle société, British Aerospace, est le leader européen de la construction aéronautique, avec 67 000 salariés et un chiffre d’affaires de GBP 800 millions. L’entreprise est structurée en deux divisions distinctes, Aircraft Group et Dynamics Group. British Aerospace rejoint le GIE Airbus en 1979, dix ans après le retrait du gouvernement britanniques du projet. Sud-Aviation et le motoriste SNECMA constituent la contribution française au développement de l’Airbus A300 dans les années 1960. Sud-Aviation est alors maître d’œuvre de la fabrication de la cellule de l’avion.

Cette photo « dédicacée » a été prise avant le départ de La Guardia pour Paris. Une autre photographie existe, avec les mêmes en compagnie de pilotes de Lockheed. L’ordonnance du 26 juin 1945 nationalise l’ancienne Société Anonyme Air France. De 1946 au début de 1948, Air France recevra quatre Constellation 049 et six Constellation 749 puis d’autres arrivèrent ce qui fit vingt-trois Constellation en 1952. Vingt huit L.049, L.749 et L.749A furent exploités. Le Constellation va dorénavant réduire à une seule — dans la plupart des cas — le nombre d’escales entre Paris et New-York et permettre fréquemment la traversée directe sans escale dans le sens retour. 28 avril 1948 – Parti d’Orly à bord d’un Constellation d’Air France, Roger Loubry rejoint La Guardia en 16 h 23 mn. Lockheed indique les différentes configurations par des nombres comme L.749-79-31. Les deux premiers chiffres après le numéro de modèle (L.749) donnent le type de moteur et les deux derniers chiffres indiquent l’aménagement intérieur. Ainsi, un L.749-79-31 est équipé de moteurs 749C18BD1 et comprend 42 sièges (Passagers de jour) ou 22 couchettes (passagers de nuit) et sept membres d’équipage.

Comme le montre le tableau 1, un total de 25 tests en vol ont servi à déterminer le modèle (en rouge) et 92 tests en vol à le valider (en bleu). Le modèle utilisé dans cette étude est inspiré de la méthode de modélisation par composants (CLM). Cette approche consiste à déterminer un modèle pour chaque composant du moteur. Toutefois, le simulateur ne fournit pas assez d’information sur les différentes valeurs de température et de pression pour ces composants. Deux approches différentes ont été utilisées : la « boîte noire » et la « boîte grise ». Une approche « boîte grise » consiste à déterminer un modèle à l’aide de la combinaison d’un modèle mathématique et d’un algorithme d’estimation. L’approche « boîte noire » n’utilise qu’un algorithme d’estimation. Le modèle du composant ventilateur-compresseur-brûleur est de type « boîte noire », combinant la méthode des moindres carrés et l’algorithme d’estimation de Levenberg-Marquardt. Depuis le début, les secours n’auraient eu, selon le Sdis des Bouches-du-Rhône, qu’une vingtaine d’interventions en raison du vent. Dans la Montagnette, du côté de Boulbon des arbres se sont couchés ; d’autres sont tombés à Noves. Il serait, selon un dicton provençal, un des trois fléaux de la Provence avec le Parlement, et la Durance (source Galtier). Il est appelé Mistral car il serait le maître vent, celui qui jouit en tout cas d’une force prodigieuse. Un ciel rouge au coucher du soleil : Mistral viendrait le lendemain. Il aurait un bail d’un, trois, six ou neuf jours. Pour bien dix jours encore, il risque en tout cas de souffler la vedette aux autres sujets du coin ! La météo du 13 a recensé certains records de vitesse sur Facebook. Ainsi une rafale record a été relevée dans la nuit de samedi à dimanche à plus de 159 km/h à Port-Saint-Louis-du-Rhône. Selon Paul Marquis cela serait probablement dû à une rafale descendante du Jet Stream qui s’est incliné au Nord-Ouest durant l’épisode. Également relevé depuis début janvier, 118 km/h à Istres, 111 km/h à Martigues, 110 km/h à Arles, 105 km/h à Salon-de-Provence, 80 km/h à Marignane.

Le virage de Cessna

Peu de versions furent finalement disponibles : le Cessna 152 de base fut construit à 6628 exemplaires. 6/-3 g. Le Cessna 152T n’est pas une version à part entière, mais un Cessna 152 doté d’un kit pour l’entraînement. Reims Aviation le produisit également sous licence, avec 552 F152 et 89 FA152. Le 24 mai 2001, un Cessna 152 piloté par un élève libanais et violant l’espace aérien israélien fut abattu par un AH-64. C’est l’unique cas connu de victoire air-air obtenue au moyen d’un AGM-114 Hellfire. 7584 exemplaires furent construits de 1977 à 1985, pour l’essentiel à Wichita. Il a équipé nombre d’aéroclubs et y est très populaire. Il a également été vendu à des forces aériennes dont celle du Bangladesh (4 exemplaires achetés en 1982), du Botswana (2 A152), du Gabon (un F152) et du Lesotho (un A152). Ce n’est qu’en 2007 que Cessna lança son successeur, le Cessna 162 Skycatcher. Cette annonce remet en cause l’accord négocié par le précédent gouvernement UPA (une coalition entre le parti du Congrès et d’autres partis) en 2008 et qui proposait l’achat de 126 avions Rafale pour 20 milliards de dollars. Le gouvernement Modi avait jugé cet accord trop cher, d’une durée trop longue (plus de 10 ans) et limitant ainsi les plans de modernisation de l’armée indienne. L’acquisition à court terme de ces avions était aussi liée à la nécessité de rapidement remplacer une flotte de combat vieillissante et en sous-effectif. ’il n’y ait pas de réel transfert de technologie compris dans l’accord. Une préférence du privé au public ? L’ancien accord prévoyait que le partenaire principal soit l’entreprise publique Hindustan Aeronotics Limited (HAL) qui possède une importante expertise dans l’industrie des avions de combat depuis l’Indépendance. Cette préférence du privé au public, couplée à la question de la compétence, ont suffi pour jeter la suspicion sur l’aval donné à ce choix.

Dassault vient de remporter l’appel d’offres lancé par l’Inde pour la vente de 126 avions de combat. Le contrat est estimé à une dizaine de milliards d’euros. La décision ne sera pas annoncée par New Delhi avant la fin du mois de mars. Un succès qui survient au bon moment pour l’avionneur. Jusqu’ici aucun client étranger ne s’était porté acquéreur de ses Rafale. Il y a presque deux mois, le ministre de la Défense, Gérard Longuet, en était même arrivé à envisager l’arrêt de la production. Le Rafale venait de subir un revers en Suisse : c’était le Gripen, l’avion du groupe Saab qui avait été choisi au détriment de celui de Dassault. Le Brésil avait déjà fait le même choix, après avoir envisagé de choisir le Rafale. Mi-novembre, les Émirats arabes ont pour leur part décidé de mettre en concurrence le Rafale avec l’Eurofighter Typhoon, fabriqué par un consortium européen. « Le Rafale qui est vendu actuellement est extrêmement polyvalent. Il dispose de capacités air-air et air-sol, alors que l’Eurofighter, par exemple, n’a que la capacité air-air. Le 23 septembre 2016, la France vendait 36 avions de chasse Rafale à l’Inde, pour environ 8 milliards d’euros. Après des années de négociations, il s’agissait du plus gros contrat à l’export signé par Dassault. Une cérémonie à New Delhi officialisait ce contrat, en présence du ministre de la défense du président Hollande, Jean-Yves Le Drian, dépêché spécialement sur place et son homologue indien Manohar Parrikar, représentant le premier ministre indien Narendra Modi. En France, industriels et sous-traitants de l’aéronautique exultaient. L’ex-président français François Hollande a ravivé cette polémique, vendredi 21 septembre, en déclarant au site Mediapart que la France n’avait « pas eu le choix » du partenaire indien du constructeur Dassault. « Nous n’avions pas notre mot à dire à ce sujet », a déclaré François Hollande à Mediapart. « C’est le gouvernement indien qui a proposé ce groupe de services et Dassault qui a négocié avec Ambani. Nous n’avons pas eu le choix, nous avons pris l’interlocuteur qui nous a été donné », a insisté l’ex-chef de l’État français. Reliance Group, a partiellement financé en 2016 un film de la compagne de l’ex-président Julie Gayet.